Le premier ministre du Japon et tous les membres de son cabinet ont donné 10% de leur salaire d’un mois au Fonds (Asian Women’s Fund) destiné à venir en aide aux esclaves condamnées à travailler dans les bordels de l’armée japonaise pendant la Deuxième Guerre Mondiale.
Le Fonds manque d’argent pour payer 10 des 290 femmes originaires de la Corée du Sud, des Philippines et de Taiwan qui ont demandé et n’ont pas encore obtenu de compensation.
Environ 200 000 prisonnières ont été condamnées à travailler de force dans les bordels japonais pendant la guerre. Elles sont presque toutes mortes aujourd’hui.