PETIT GUIDE DE VIE
À suivre, tout simplement
La plus grande force dans la vie … L’AMOUR !
Le plus grand atout qui soit… LA FOI !
Le canal de communication le plus puissant… LA PRIÈRE !
La chose primordiale dans la vie… LA PUISSANCE DE DIEU !
La plus grande joie… DONNER !
La chose dont on ne peut absolument pas se passer…L’ESPOIR !
L’habitude la plus destructive… L’INQUIÉTUDE !
L’ordinateur le plus fantastique… LE CERVEAU !
Le trait de personnalité le plus laid…. L’ÉGOÏSME !
Le plus gros problème à surmonter… LA PEUR !
La parure la plus belle… LE SOURIRE !
La maladie la plus invalidante… LES JUSTIFICATIONS !
Les deux mots les plus puissants… JE PEUX !
L’émotion la plus stérile… L’APITOIEMENT SUR SOI !
Le meilleur coup de pouce… L’ENCOURAGEMENT !
Le somnifère le plus efficace … LA PAIX DE L’ESPRIT !
Le bien le plus précieux … L’INTÉGRITÉ !
La tâche la plus gratifiante … AIDER LES AUTRES !
L’activité la plus dangereuse … LE COMMÉRAGE !
La plus grande perte … LA PERTE DU RESPECT DE SOI !
La plus grande ressource naturelle … LA JEUNESSE !
Et la plus belle des attitudes… LA GRATITUDE !
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Un ami fidèle, ça n’a pas de prix
Plus que pour toute autre raison, c’est par
manque d’encouragement que les gens
échouent. (Auteur anonyme)
Le plus beau cadeau que vous puissiez offrir
à quelqu’un, c’est de l’encourager. Et pourtant,
presque personne ne reçoit l’encouragement
dont il a besoin pour réaliser tout son potentiel.
Si chacun recevait l’encouragement
nécessaire à sa croissance, le génie qui est
en lui s’épanouirait et le monde produirait
en abondance, au-delà de nos rêves les plus
fous. (Sidney Madwed)
Un vrai ami connaît vos faiblesses mais fait
ressortir vos forces ; il ressent vos craintes
mais renforce votre foi ; il voit vos angoisses
mais libère votre esprit ; il reconnaît vos
handicaps mais fait valoir vos talents.
(William Ward)
Avoir de vrais amis, c’est un refuge sûr ;
celui qui en trouve un a trouvé un trésor.
Les vrais amis n’ont pas de prix, ils sont
inestimables.
(Siracide)
Un vrai ami se confie librement, conseille
justement, aide promptement, supporte
tout patiemment, défend courageusement,
et reste votre ami invariablement.
(William Penn)
L’une des plus belles choses que vous
puissiez donner à quelqu’un, c’est votre
foi en lui. Nous avons tous besoin que
quelqu’un croie en nous !
Cultivez les qualités que vous attendez
d’un ami, parce que quelqu’un cherche
en vous un ami.
(Anonyme)
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Musique de l’âme
(Mme Charles Cowman)
Un jour qu’il entrait en scène et que le public
terminait de l’applaudir, le grand violoniste
Paganini s’aperçut que quelque chose n’allait
pas avec son violon. Il y jeta un coup d’œil et
constata que ce n’était pas son fameux violon,
son violon de grande valeur.
Après un instant de stupeur, il se tourne vers
le public pour lui annoncer qu’il y doit y avoir
une méprise et que ce n’est pas son violon.
Il disparaît derrière le rideau, pensant qu’il
l’a laissé là, mais découvre qu’on le lui a volé
et remplacé par ce vieux violon usagé. Il reste
un moment derrière le rideau, puis revient
sur scène pour s’adresser au public :
— Mesdames et Messieurs, je vais vous
montrer que ce n’est pas de l’instrument
que sort la musique mais de l’âme.
Alors il se met à jouer comme il n’a jamais
joué. Et de ce vieil instrument, la musique
se déverse sur l’auditoire au point qu’il est
transporté d’enthousiasme, au point qu’il
s’en faut de peu que les applaudissements
ne soulèvent le toit de l’édifice !
Parce que cet homme leur avait montré que
la musique ne provenait pas d’un simple outil
mais de son âme.
C’est votre mission que d’entrer sur la scène
de ce monde pour révéler à la face de la terre
et du Ciel que la musique ne provient pas des
circonstances, ni des choses, ni des formes
extérieures, mais que la musique de la vie
émane du fond même de votre âme.
(Extrait de Streams in the desert
(Ruisseaux dans le désert), de
Mme Charles Cowman)
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Donne-toi à fond !
Si Dieu t’a appelé, ne regarde pas
par-dessus ton épaule pour voir qui
est en train de te suivre.
Renoncer à soi-même,
c’est devenir non-conformiste.
Un jeune homme vint trouver le
célèbre Dwight L. Moody pour lui
demander :
« M. Moody, j’aimerais devenir
chrétien, mais est-ce que ça veut
dire que je dois renoncer au monde ? »
Moody lui répondit, dans le style qui
était le sien : « Jeune homme, si vous
vous engagez à fond dans la vie
chrétienne, bientôt c’est le monde
qui va renoncer à vous ! »
Florence Nightingale, ayant renoncé
à la fortune et au confort, choisit de
vivre dans la pauvreté, la maladie et
la guerre, pour prendre soin de ceux
qui souffraient. Elle écrivait dans son
journal :
« J’ai trente ans, l’âge du Christ
lorsqu’Il débuta Sa mission. À présent,
plus d’enfantillages, plus de vanités ! »
Des années plus tard, vers la fin de
sa vie illustre et héroïque, on lui
demandait quel avait été son secret :
« Eh bien, répondit-elle, je n’ai qu’une
explication. C’est que je n’ai rien refusé
à Dieu »
David Livingstone, le grand explorateur
missionnaire, écrivait :
« On parle de mes nombreuses années
passées en Afrique comme d’un grand
sacrifice. Mais peut-on appeler sacrifice
ce qui n’est qu’une simple petite marque
de reconnaissance en face de l’immensité
de notre dette envers Dieu ?
Peut-on parler d’une vie de sacrifice
quand elle apporte déjà sa propre
récompense, sous la forme d’une activité
saine, la satisfaction de savoir qu’on fait
le bien, la paix de l’esprit, sans parler de
la radieuse espérance d’une glorieuse
destinée dans l’au-delà ?
Il ne s’agit absolument pas d’un sacrifice.
Parlons plutôt de privilège. L’anxiété,
la maladie, la souffrance, les dangers
qui se présentent parfois et la privation
de certaines commodités peuvent nous
arrêter momentanément, nous faire
hésiter, chavirer, mais puisse tout cela
n’être que passager !
Toutes ces difficultés sont dérisoires
en comparaison de la gloire qui sera
révélée en nous et pour nous.
Non, je n’ai jamais fait de sacrifice !
Nous ne pouvons parler en ces termes
quand nous pensons au grand sacrifice
qu’Il a fait, Lui, en quittant le trône de
Son Père pour Se donner à nous »
L’une des plus frappantes ironies de
l’histoire, c’est qu’avec le recul du
temps, les considérations de positions
et de titres n’ont plus la moindre
importance dans le jugement que les
hommes portent les uns sur les autres.
Dans le souvenir qu’un homme laisse
à la postérité, on constate que l’histoire
se moque éperdument de son rang, de
son titre et de la fonction qui était la
sienne, mais qu’elle se souvient
uniquement de la valeur de ses actes
et de ses qualités de cœur et d’esprit.
Il vaut mieux mourir pour quelque
chose que de vivre pour rien. Il est si
facile de se donner des excuses ;
aussi légitimes, logiques, raisonnables,
acceptables, soient-elles pour expliquer
pourquoi on ne peut pas y arriver,
pourquoi même on n’est pas censés
y arriver.
Dans la plupart des cas, les gens
s’empresseront d’accepter vos
excuses, parce qu’ils n’osent pas
s’aventurer non plus et qu’en vous
excusant, c’est eux-mêmes qu’ils
excusent.
Mais Dieu vous excusera-t-Il ?
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J’aimerai terminer ce blog avec
Cette magnifique pensée que j’ai
trouvé en regardant un film :
« L’honneur s’est le respect que
chacun à de soi, et quel que soit
les circonstances ! »