Bien que le toit du Biodôme soit percé de 58 lanterneaux, la lumière au « sol » est beaucoup plus faible qu’en milieu naturel.
Les écosystèmes sont donc munis de systèmes d’éclairage d’appoint, contrôlés par ordinateur de façon à offrir la quantité et la qualité de lumière requises.
Dans la forêt tropicale, par exemple, la photopériode suit celle du Costa Rica, et la combinaison de diverses longueurs d’ondes permet de recréer levers et couchers de soleil.
extrait de : Biodôme de Montréal
http://www2.ville.montreal.qc.ca/biodome/bdm.htm