Si on me parle de solitude, je parle d’indépendance.
La femme de quarante ou cinquante ans qui n’a pas d’homme dans sa vie s’imagine souvent qu’elle est condamnée à la solitude.
Elle a peur. Souvent, elle fait même des folies pour ne pas se réveiller seule le dimanche matin. Or c’est son indépendance qu’elle bâtit.
Très souvent, elle ne trouvera pas d’homme pour la satisfaire, car sans s’en rendre compte, elle sera devenue trop indépendante.