Les détraqués de la gâchette..
Le 6 décembre 1989 Marc Lépine, né Gamil Gharbi, est l’auteur de la tuerie de polytechnique à Montréal et assassine quatorze femmes dont treize étudiantes et une secrétaire et fait 14 blessés, dont dix femmes. Il se suicide ensuite, laissant une lettre dans laquelle il explique son acte par des motifs antiféministes.
Sa psychose à lui c’était l’épanouissement de la femme lui dont le père était musulman et violent. De mère Québécoise qui peut en témoigner il fut souvent battu et élevé à la dure. Cette méthode ne donne pas souvent de bons résultât et les êtres fragilisés qui s’en sorte deviennent violent à l’occasion et rêvent d’une mitraillette pour anéantir leurs frustrations.
À Québec, le 8 mai 1984, Denis Lortie s’introduit armé et en uniforme militaire dans l’hôtel du Parlement du Québec, dans le but avoué d’assassiner René Lévesque et ses députés du Parti québécois, tuant sur son passage trois personnes et en blessant treize. Sa psychose à lui c’était la possibilité d’un Québec indépendant.
Le 29 janvier 2017 Alexandre Bissonnette a reconnu avoir ouvert le feu sur les fidèles présents, tuant six personnes et faisant huit blessés. Influencé par les tueries du bataclan ,Charlie Hebdo, ect. Sa psychose à lui c’était l’islamisme dans lequel il incluait tous les musulmans sans exception.
Toutes ces tueries sont l’oeuvre d’individus détraqués qui ne représente d’aucune façon une collectivité. Il nous faut se rassembler autour d’une journée contre la violence.